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BergiBike
il y a 10 ans 5 mois #110781
par ecoffeys
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il y a 10 ans 5 mois #110804
par Guyrando
Salut Sylvain !
Très probablement au départ de Fribourg !
Alors, y aura-t'il des VO2 au départ cette année ?
www.bergibike.ch/site/
Salut Sylvain !
Très probablement au départ de Fribourg !
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il y a 10 ans 5 mois #111067
par Cricridamour
Mon blog: christophequibouge.wordpress.com/
Réponse de Cricridamour sur le sujet BergiBike
@ Guyrando
Pour la roue, j'ai une solution en vue que je teste tout-à -l'heure. Merci pour la proposition.
Pour dimanche,
ordre du jour
mission: transport vers le départ
moyen : covoiturage, afin de laisser ta voiture à l'arrivée
rdv lieu: station-service à la sortie de l'autoroute à Bulle
rdv quand: 06:00:00 zéro minute et zéro seconde, le 22.06.2014
tenue: cycliste
paquetage: sac et vélo prêt au départ. Pompe et petit matériel sera à disposition dans mon coffre
état d'esprit: bonne humeur et motivation à 100%, nondetcheu!
divers: sinon, ça va barder pour ton matricule (respectivement n° de dossard)!
et y aura des sanctions extrêmement sévères. 
Pour l'après course: improvisation
ou 
Des questions?
Non? Alors, saluez et annoncez-vous partant!
Sergent Cricri
Pour la roue, j'ai une solution en vue que je teste tout-à -l'heure. Merci pour la proposition.
Pour dimanche,
ordre du jour
mission: transport vers le départ
moyen : covoiturage, afin de laisser ta voiture à l'arrivée
rdv lieu: station-service à la sortie de l'autoroute à Bulle
rdv quand: 06:00:00 zéro minute et zéro seconde, le 22.06.2014
tenue: cycliste
paquetage: sac et vélo prêt au départ. Pompe et petit matériel sera à disposition dans mon coffre
état d'esprit: bonne humeur et motivation à 100%, nondetcheu!
divers: sinon, ça va barder pour ton matricule (respectivement n° de dossard)!
et y aura des sanctions extrêmement sévères. Pour l'après course: improvisation
ou Des questions?
Non? Alors, saluez et annoncez-vous partant!
Sergent Cricri
Mon blog: christophequibouge.wordpress.com/
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il y a 10 ans 5 mois #111124
par Guyrando
Bon j’y vais de mon CR avant que Cricri fasse sauter le serveur avec des détails à la seconde près d’une course de plus de 5h00.
D’abord un grand MERCI à Cricri et à sa femme qui m’ont véhiculé de Bulle à Fribourg puisque le départ et l’arrivée ne sont pas dans les mêmes villes.
Rendez-vous donc à 6h00 précise à Bulle. Je suis légèrement en avance mais Cricri est déjà là, remonté comme une pendule et près a en découdre.
Prise de dossard, puis nous repartons dans le bus de Cricri pour boire un café ou un thé selon les personnes.
Petit échauffement puis mise en place dans les boxes. Nous sommes tous les deux dans le deuxième, mais Cricri se trouve plus en avant et je ne le reverrai pas de toute la course.
Départ sous contrôle pour une traversée de la vieille ville avant d’être lâché au pied d’une première montée en pavé bien soutenue qui donne le ton de la journée.
Comme d’habitude je pars un peu trop vite pour mon niveau et je le payerai plus tard. La première heure et demie se fait sur des singles et des chemins ou la relance et constante et usante. Après suis une longue montée jusqu’au premier sommet de la journée, La Berra. On termine l’ascension par un poussage à travers le pâturage bien raide.
Première longue descente qui ne laisse aucun répit ni à la concentration, ni à la musculature. Mal aux mains, mal aux bras ( les jambes c’étaient déjà faits).
Au fond de la descente nous changeons de côté en traversant le barrage de Rossens sur le mur, puis nous nous dirigeons en direction du Gibloux, deuxième sommet de la journée.
Il n’a pas l’air loin, mais beaucoup de détours à travers champs et forêts continuent de me détruire les jambes. Chaque montée devient difficile et les premiers débuts de crampes se manifestent.
Après une terrible montée, pourtant goudronnée, que je ferais à pieds, nous attaquons la grimpée finale vers l’antenne du Gibloux.
Reste une quinzaine de kilomètres de bosses et descentes à travers la forêt pour rejoindre l’arrivée.
Deux kilomètres de routes dont un avec le vent de face ou je donne le peu qu’il me reste. Les jambes sont cuites et les puls n’arrivent même plus à monter.
J’en termine en 5h53 et des bricoles à 42 minutes de mon meilleure temps. Pas vraiment surpris ni déçu, mais une confirmation de mon manque de force.
Voilà je laisse le soin à Cricri de vous gratifier de son CR avec moult détails et anecdotes.
D’abord un grand MERCI à Cricri et à sa femme qui m’ont véhiculé de Bulle à Fribourg puisque le départ et l’arrivée ne sont pas dans les mêmes villes.
Rendez-vous donc à 6h00 précise à Bulle. Je suis légèrement en avance mais Cricri est déjà là, remonté comme une pendule et près a en découdre.
Prise de dossard, puis nous repartons dans le bus de Cricri pour boire un café ou un thé selon les personnes.
Petit échauffement puis mise en place dans les boxes. Nous sommes tous les deux dans le deuxième, mais Cricri se trouve plus en avant et je ne le reverrai pas de toute la course.
Départ sous contrôle pour une traversée de la vieille ville avant d’être lâché au pied d’une première montée en pavé bien soutenue qui donne le ton de la journée.
Comme d’habitude je pars un peu trop vite pour mon niveau et je le payerai plus tard. La première heure et demie se fait sur des singles et des chemins ou la relance et constante et usante. Après suis une longue montée jusqu’au premier sommet de la journée, La Berra. On termine l’ascension par un poussage à travers le pâturage bien raide.
Première longue descente qui ne laisse aucun répit ni à la concentration, ni à la musculature. Mal aux mains, mal aux bras ( les jambes c’étaient déjà faits).
Au fond de la descente nous changeons de côté en traversant le barrage de Rossens sur le mur, puis nous nous dirigeons en direction du Gibloux, deuxième sommet de la journée.
Il n’a pas l’air loin, mais beaucoup de détours à travers champs et forêts continuent de me détruire les jambes. Chaque montée devient difficile et les premiers débuts de crampes se manifestent.
Après une terrible montée, pourtant goudronnée, que je ferais à pieds, nous attaquons la grimpée finale vers l’antenne du Gibloux.
Reste une quinzaine de kilomètres de bosses et descentes à travers la forêt pour rejoindre l’arrivée.
Deux kilomètres de routes dont un avec le vent de face ou je donne le peu qu’il me reste. Les jambes sont cuites et les puls n’arrivent même plus à monter.
J’en termine en 5h53 et des bricoles à 42 minutes de mon meilleure temps. Pas vraiment surpris ni déçu, mais une confirmation de mon manque de force.
Voilà je laisse le soin à Cricri de vous gratifier de son CR avec moult détails et anecdotes.
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il y a 10 ans 5 mois #111138
par skippy
Réponse de skippy sur le sujet BergiBike
Bravo Guy. Joli CR et tu as tout donné
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il y a 10 ans 4 mois #111151
par Cricridamour
Oui oui, pas de stress, déjà qu'aujourd'hui je ne suis pas au mieux 
mon CR est en préparation, mais faut aussi que je travaille la moindre, hein.... 
Mon blog: christophequibouge.wordpress.com/
Réponse de Cricridamour sur le sujet BergiBike
Voilà je laisse le soin à Cricri de vous gratifier de son CR avec moult détails et anecdotes.
Oui oui, pas de stress, déjà qu'aujourd'hui je ne suis pas au mieux
mon CR est en préparation, mais faut aussi que je travaille la moindre, hein.... Mon blog: christophequibouge.wordpress.com/
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il y a 10 ans 4 mois #111160
par ecoffeys
Alors rapide CR pour moi.
Jusqu'à il y a 2 semaines, je prévoyais de partir sur le petit parcours (championnat suisse marathon sur courte distance oblige). Comme je me suis "planté" à la 1ère manche, j'ai changé mes objectifs.
L'année dernière, je mets 4h08 (avec une crevaison et une réparation manquée dans la descente de la Berra) pour un 32ème rang. pour cette année, je vise 3h50 et un TOP25.
Départ sous conduite jusqu'au pied du mur de la Lorette, là, je sors dans le 2ème groupe à 20 secondes de la tête, il y a un regroupement avant d'aborder le bord de la Gérine. Je me retrouve dans le 3ème groupe à 1min30 de la tête à St-Silvestre. Tout va pour le mieux, les pulses sont très (trop) basses.
au km 19, la montée débute et comme l'année dernière, je perds continuellement du temps sur le groupe, mais cette année, je gère contrairement à l'année dernière. Au sommet de la Berra, je suis pointé vers la 20-25ème place. Je connais bien la descente et comme je vole depuis 3 mois dans les descentes, j'ai grand espoir de revenir sur quelques concurrents. Manque de chance, après moins de 300m, je perds une lentille (-2.00 de correction). Donc, autant dire que je ne dépasse pas grand monde et je dois me contenter de suivre mon groupe.
Dès Pont-la-Ville, le terrain me convient mieux et j'ai prévu de rouler fort... or, impossible d'embrayer. Pire encore 500m après le ravito de Rossens, je tombe bêtement et je remarque 1km plus loin que je n'ai plus de gourde...
Un peu avant le ravito de Villarlod, Albert me rattrape et se plaint, comme à son habitude, que le parcours ne monte pas assez
J'arrive donc au ravito, plus que défait, je bois 2 gourdes et je repars. J'arriverai à tenir un groupe qui me dépasse au sommet du Gibloux et à finir avec eux couvert de crampes. Cela faisait au moins 2 ans que je n'en avais pas eu
Bilan :
3h48.50 = Atteint
31ème = pas atteint
Constat : pour 20min de moins que l'année dernière, je ne gagne qu'un rang
et selon moi, le parcours était dans les mêmes conditions (légèrement humide et froid en 2013, trop sec et chaud en 2014). les 1er sont 1min30 plus lent que l'année dernière
Sur les 3 derniers temps de passage, je suis plus rapide qu'en 2013 (8min en tout) alors que j'avais l'impression de coller à la route...
Comme d'habitude, organisation TOP et un merci particulier au bénévoles qui ont dû se coltiner le nettoyage des excréments que les gens du voyage ont laissé sur le parcours lors de leur camping sauvage cette semaine
Jusqu'à il y a 2 semaines, je prévoyais de partir sur le petit parcours (championnat suisse marathon sur courte distance oblige). Comme je me suis "planté" à la 1ère manche, j'ai changé mes objectifs.
L'année dernière, je mets 4h08 (avec une crevaison et une réparation manquée dans la descente de la Berra) pour un 32ème rang. pour cette année, je vise 3h50 et un TOP25.
Départ sous conduite jusqu'au pied du mur de la Lorette, là, je sors dans le 2ème groupe à 20 secondes de la tête, il y a un regroupement avant d'aborder le bord de la Gérine. Je me retrouve dans le 3ème groupe à 1min30 de la tête à St-Silvestre. Tout va pour le mieux, les pulses sont très (trop) basses.
au km 19, la montée débute et comme l'année dernière, je perds continuellement du temps sur le groupe, mais cette année, je gère contrairement à l'année dernière. Au sommet de la Berra, je suis pointé vers la 20-25ème place. Je connais bien la descente et comme je vole depuis 3 mois dans les descentes, j'ai grand espoir de revenir sur quelques concurrents. Manque de chance, après moins de 300m, je perds une lentille (-2.00 de correction). Donc, autant dire que je ne dépasse pas grand monde et je dois me contenter de suivre mon groupe.
Dès Pont-la-Ville, le terrain me convient mieux et j'ai prévu de rouler fort... or, impossible d'embrayer. Pire encore 500m après le ravito de Rossens, je tombe bêtement et je remarque 1km plus loin que je n'ai plus de gourde...
Un peu avant le ravito de Villarlod, Albert me rattrape et se plaint, comme à son habitude, que le parcours ne monte pas assez
J'arrive donc au ravito, plus que défait, je bois 2 gourdes et je repars. J'arriverai à tenir un groupe qui me dépasse au sommet du Gibloux et à finir avec eux couvert de crampes. Cela faisait au moins 2 ans que je n'en avais pas eu
Bilan :
3h48.50 = Atteint
31ème = pas atteint
Constat : pour 20min de moins que l'année dernière, je ne gagne qu'un rang
et selon moi, le parcours était dans les mêmes conditions (légèrement humide et froid en 2013, trop sec et chaud en 2014). les 1er sont 1min30 plus lent que l'année dernièreSur les 3 derniers temps de passage, je suis plus rapide qu'en 2013 (8min en tout) alors que j'avais l'impression de coller à la route...
Comme d'habitude, organisation TOP et un merci particulier au bénévoles qui ont dû se coltiner le nettoyage des excréments que les gens du voyage ont laissé sur le parcours lors de leur camping sauvage cette semaine
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il y a 10 ans 4 mois #111166
par Guyrando
Bon je vois que l'on a pas tous les même critères , Albert je cherche un entraineur
Un grand bravo à Arnaud, Fabrice et Sylvain. Quand on voit les pointures devant
1. Näf Ralph 3:18.54,6
2. Milatz Moritz 3:18.55,0
3. Huguenin Jérémy 3:19.15,5
4. Buchli Lukas 3:25.36,7
5. Dafflon Xavier 3:26.39,7
6. Looser Konny 3:30.48,4
7. Rapillard Arnaud 3:36.21,2
21. Clément Fabrice 3:44.33,4
31. Ecoffey Sylvain 3:48.59,1
Un peu avant le ravito de Villarlod, Albert me rattrape et se plaint, comme à son habitude, que le parcours ne monte pas assez
Bon je vois que l'on a pas tous les même critères , Albert je cherche un entraineur
Un grand bravo à Arnaud, Fabrice et Sylvain. Quand on voit les pointures devant
1. Näf Ralph 3:18.54,6
2. Milatz Moritz 3:18.55,0
3. Huguenin Jérémy 3:19.15,5
4. Buchli Lukas 3:25.36,7
5. Dafflon Xavier 3:26.39,7
6. Looser Konny 3:30.48,4
7. Rapillard Arnaud 3:36.21,2
21. Clément Fabrice 3:44.33,4
31. Ecoffey Sylvain 3:48.59,1
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il y a 10 ans 4 mois - il y a 10 ans 4 mois #111177
par Llloic
VTT XC Blog : ma pratique du VTT Cross Country, avec des récits de course, des conseils pour progresser, des tutoriels, etc...
A mon tour de faire un compte rendu de ma course, la 2ème cette année après Ursy et mes débuts en VTT depuis un an.
Départ à Fribourg dans le 3ème bloc pour une première participation à la Bergibike. Objectif fixé à 5h30 en début de saison et finalement revu à la hausse à 5h00. Plutôt en fin de bloc sur la ligne, je décide de partir sur un bon rythme pour essayer de remonter pendant la portion sur route et avant d’arriver dans les single pour éviter les bouchons. Un peu grisé de remonter du monde au fur et à mesure je ne relâche pas vraiment le rythme et fait toute la montée vers la Berra sans penser à m’économiser. Arrivée au 2nd ravito du Coussimbert, les jambes semblent toujours répondre relativement bien, donc heureux. Et quelques minutes plus loin au moment de pousser le vélo pour monter au sommet de la Berra, à peine le pied posé par terre que je suis pris de crampes aux 2 jambes ! Dès l’arrêt du mouvement de pédalage pour passer au portage, ça m’a été mortel.
Tant bien que mal je monte au sommet en grimaçant, et j’attaque la longue descente. Dur de maintenir une position figée, les crampes sont toujours là, et ça ne facilite pas la tâche dans quelques secteurs où ça tabasse. Comme je m’en doutais, une fois arrivée en bas à La Roche, dur de remettre en route, jambes bloquées. Je mouline pas mal pour pouvoir continuer à avancer tout en essayant de limiter ces crampes, mais c’est déjà galère à peine à mi-parcours. Pour couronner le tout je me chope des brûlures à l’estomac, sans doute à cause du gel pris plus tôt et pourtant testé sans souci avant la course … Autant dire qu’à ce moment-là je n’étais pas au mieux.
Dans ces conditions les détours pour monter au Gibloux ont été un long calvaire, même si tout est passé (pas vite) sur le vélo. Les brûlures d’estomac ne diminuaient pas mais je sentais au moins les jambes revenir un peu et les crampes diminuer.
La fin du parcours a plutôt un profil descendant et ça m’a bien aidé à retrouver un peu de rythme sans trop forcer sur les jambes. Plus de crampes sur ce dernier tronçon même si je sentais bien qu’elles n’étaient pas loin. Je donne ce qu’il me reste sur les 2/3 derniers kilomètres de bitume, le vent de face, pour doubler deux concurrents devant moi, et finir 333ème / 590 scratch en 5h07.
Bilan :
- Objectif loupé pour 7min …
- Parti trop vite les 2 premières heures, et payé cher ensuite, ça s’est confirmé après course en regardant les classements de chaque tronçon : bien au 1er, franc mal aux 2ème et 3ème, et mieux sur la fin
- Une organisation au top, des bénévoles nombreux et agréables, un balisage parfait, et un parcours franchement plaisant. Je me suis régalé à mon niveau et malgré mon coup de moins bien, c’est là l’essentiel !
Des questions aux plus expérimentés, histoire d'apprendre :
- Brûlures à l’estomac après 2h : j’avais déjà vidé 2 gourdes de boisson isotonique et 2 gels. D'expérience vous pensez que c’est trop et qu’un trop gros apport de sucre peut provoquer cela ?
- Les crampes chopées dès les premiers pas du portage : j’ai vraiment eu l’impression que tout allait pas trop mal sur le vélo puis que les cuisses ont bloqué en 3 pas une fois à pied. Est-ce que j’ai simplement trop forcé avant sur le vélo, ou est-ce que le fait de changer brutalement de mouvement et marcher peut les favoriser ? Je ne fais pas du tout de course à pied et peu de marche en montagne, sans doute qu’il me faudrait m’y mettre pour être plus facile au moment des portages ?
En tout cas bravo à tous pour votre course ! Et la date pour l’année prochaine est déjà marquée, vivement !
Départ à Fribourg dans le 3ème bloc pour une première participation à la Bergibike. Objectif fixé à 5h30 en début de saison et finalement revu à la hausse à 5h00. Plutôt en fin de bloc sur la ligne, je décide de partir sur un bon rythme pour essayer de remonter pendant la portion sur route et avant d’arriver dans les single pour éviter les bouchons. Un peu grisé de remonter du monde au fur et à mesure je ne relâche pas vraiment le rythme et fait toute la montée vers la Berra sans penser à m’économiser. Arrivée au 2nd ravito du Coussimbert, les jambes semblent toujours répondre relativement bien, donc heureux.
Et quelques minutes plus loin au moment de pousser le vélo pour monter au sommet de la Berra, à peine le pied posé par terre que je suis pris de crampes aux 2 jambes ! Dès l’arrêt du mouvement de pédalage pour passer au portage, ça m’a été mortel.Tant bien que mal je monte au sommet en grimaçant, et j’attaque la longue descente. Dur de maintenir une position figée, les crampes sont toujours là, et ça ne facilite pas la tâche dans quelques secteurs où ça tabasse. Comme je m’en doutais, une fois arrivée en bas à La Roche, dur de remettre en route, jambes bloquées. Je mouline pas mal pour pouvoir continuer à avancer tout en essayant de limiter ces crampes, mais c’est déjà galère à peine à mi-parcours. Pour couronner le tout je me chope des brûlures à l’estomac, sans doute à cause du gel pris plus tôt et pourtant testé sans souci avant la course … Autant dire qu’à ce moment-là je n’étais pas au mieux.
Dans ces conditions les détours pour monter au Gibloux ont été un long calvaire, même si tout est passé (pas vite) sur le vélo. Les brûlures d’estomac ne diminuaient pas mais je sentais au moins les jambes revenir un peu et les crampes diminuer.
La fin du parcours a plutôt un profil descendant et ça m’a bien aidé à retrouver un peu de rythme sans trop forcer sur les jambes. Plus de crampes sur ce dernier tronçon même si je sentais bien qu’elles n’étaient pas loin. Je donne ce qu’il me reste sur les 2/3 derniers kilomètres de bitume, le vent de face, pour doubler deux concurrents devant moi, et finir 333ème / 590 scratch en 5h07.
Bilan :
- Objectif loupé pour 7min …
- Parti trop vite les 2 premières heures, et payé cher ensuite, ça s’est confirmé après course en regardant les classements de chaque tronçon : bien au 1er, franc mal aux 2ème et 3ème, et mieux sur la fin
- Une organisation au top, des bénévoles nombreux et agréables, un balisage parfait, et un parcours franchement plaisant. Je me suis régalé à mon niveau et malgré mon coup de moins bien, c’est là l’essentiel !
Des questions aux plus expérimentés, histoire d'apprendre :
- Brûlures à l’estomac après 2h : j’avais déjà vidé 2 gourdes de boisson isotonique et 2 gels. D'expérience vous pensez que c’est trop et qu’un trop gros apport de sucre peut provoquer cela ?
- Les crampes chopées dès les premiers pas du portage : j’ai vraiment eu l’impression que tout allait pas trop mal sur le vélo puis que les cuisses ont bloqué en 3 pas une fois à pied. Est-ce que j’ai simplement trop forcé avant sur le vélo, ou est-ce que le fait de changer brutalement de mouvement et marcher peut les favoriser ? Je ne fais pas du tout de course à pied et peu de marche en montagne, sans doute qu’il me faudrait m’y mettre pour être plus facile au moment des portages ?
En tout cas bravo à tous pour votre course ! Et la date pour l’année prochaine est déjà marquée, vivement !
VTT XC Blog : ma pratique du VTT Cross Country, avec des récits de course, des conseils pour progresser, des tutoriels, etc...
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il y a 10 ans 4 mois #111208
par Cricridamour
Mon blog: christophequibouge.wordpress.com/
Réponse de Cricridamour sur le sujet BergiBike
Salut Llloic
Bravo pour ta course et merci pour ton CR ! 
Je crois bien que je t’ai aperçu à l’arrivée, mais le temps que mon cerveau embrumé percute, tu étais déjà loin : désolé !
Puisque nous habitons pas loin de ce beau parcours, faudra qu’on aille rouler ensemble l’an prochain pour des repérages.
Concernant tes questions :
Les crampes : vaste sujet, qui a déjà été abordé sur ce forum.
Fondamentalement, il existe deux types de sportifs : ceux qui souffrent de crampes, et ceux qui en ont jamais. Chacun est différent. Ce qui marche pour l’un, ne marchera pas forcément pour l’autre. Alors fais une recherche sur ce forum, tu trouveras peut-être des solutions à tester. Et jette donc aussi un œil sur des sites dédiés à la course à pied, par ex
www.kikourou.net/forum/viewforum.php?f=21&sid=0e...9b8cbb978448daa0009a
forum.brunoheubi.com/viewforum.php?f=62
Dans ton cas, une partie de la réponse se trouve, à mon humble avis, déjà dans ta question.
Bois beaucoup les jours avant une course longue dans la chaleur. Il y a des gens qui prennent aussi du magnesium.
Mais je suis mal placé pour te donner des conseils, car je n’ai quasiment jamais de crampes. Les rares fois où j’en ai eues, ou que j’étais à la limite, c’était par exemple dix minutes après un départ à fond à froid en course à pied (Sierre-Zinal, aux mollets), une course longue par grosse chaleur (Eison-L’A Vieille au Grand Raid 2012, les ischio-jambiers), une pause après un effort intensif (Sommet du pas de Lona, en étant parti de Verbier, les mollets). Ou encore ici à la Bergibike, grosse chaleur, durée, après un changement de rythme, les ischios. Et par chance, ce ne furent jamais des crampes qui m’imposèrent de m’arrêter, ou de me rouler par terre comme certaines personnes. Alors maintenant, quand je me retrouve dans ces situations potentiellement «crampigènes», je lève le pied, et tant pis pour le chrono.
Pour les aigreurs d’estomac : idem que pour les crampes. Les produits qui conviennent à l’un, etc…
Alors faut tester différentes marques et dosage. Llloic, au boulot !
A+
Cricri
PS : tu as terminé juste devant moi au scratch, c’est inadmissible !
Ma vengeance sera terrible en 2015 !
Bravo pour ta course
et merci pour ton CR ! Je crois bien que je t’ai aperçu à l’arrivée, mais le temps que mon cerveau embrumé percute, tu étais déjà loin : désolé !
Puisque nous habitons pas loin de ce beau parcours, faudra qu’on aille rouler ensemble l’an prochain pour des repérages.
Concernant tes questions :
Les crampes : vaste sujet, qui a déjà été abordé sur ce forum.
Fondamentalement, il existe deux types de sportifs : ceux qui souffrent de crampes, et ceux qui en ont jamais. Chacun est différent. Ce qui marche pour l’un, ne marchera pas forcément pour l’autre. Alors fais une recherche sur ce forum, tu trouveras peut-être des solutions à tester. Et jette donc aussi un œil sur des sites dédiés à la course à pied, par ex
www.kikourou.net/forum/viewforum.php?f=21&sid=0e...9b8cbb978448daa0009a
forum.brunoheubi.com/viewforum.php?f=62
Dans ton cas, une partie de la réponse se trouve, à mon humble avis, déjà dans ta question.
Bois beaucoup les jours avant une course longue dans la chaleur. Il y a des gens qui prennent aussi du magnesium.
Mais je suis mal placé pour te donner des conseils, car je n’ai quasiment jamais de crampes. Les rares fois où j’en ai eues, ou que j’étais à la limite, c’était par exemple dix minutes après un départ à fond à froid en course à pied (Sierre-Zinal, aux mollets), une course longue par grosse chaleur (Eison-L’A Vieille au Grand Raid 2012, les ischio-jambiers), une pause après un effort intensif (Sommet du pas de Lona, en étant parti de Verbier, les mollets). Ou encore ici à la Bergibike, grosse chaleur, durée, après un changement de rythme, les ischios. Et par chance, ce ne furent jamais des crampes qui m’imposèrent de m’arrêter, ou de me rouler par terre comme certaines personnes. Alors maintenant, quand je me retrouve dans ces situations potentiellement «crampigènes», je lève le pied, et tant pis pour le chrono.
Pour les aigreurs d’estomac : idem que pour les crampes. Les produits qui conviennent à l’un, etc…
Alors faut tester différentes marques et dosage. Llloic, au boulot !
A+
Cricri
PS : tu as terminé juste devant moi au scratch, c’est inadmissible !
Ma vengeance sera terrible en 2015 !
Mon blog: christophequibouge.wordpress.com/
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il y a 10 ans 4 mois #111289
par Llloic
VTT XC Blog : ma pratique du VTT Cross Country, avec des récits de course, des conseils pour progresser, des tutoriels, etc...
Salut Cricridamour,
Dommage de ne pas s' être croisé à l'arrivée, partie remise pour une prochaine fois En tout cas avec plaisir pour faire une reco ensemble l'an prochain ! D'ailleurs le monde est petit, avec Sylvain, toi et moi, on est dans le même coin.
Merci pour les explications et les liens. Je vais lire tout ça et me documenter un peu . Je pense que la chaleur a pas mal jouée aussi. D'habitude je suis assez rarement sujet aux crampes.
Pour le scratch, serré en effet ! RDV pris en 2015 !
Dommage de ne pas s' être croisé à l'arrivée, partie remise pour une prochaine fois
En tout cas avec plaisir pour faire une reco ensemble l'an prochain ! D'ailleurs le monde est petit, avec Sylvain, toi et moi, on est dans le même coin.Merci pour les explications et les liens. Je vais lire tout ça et me documenter un peu
. Je pense que la chaleur a pas mal jouée aussi. D'habitude je suis assez rarement sujet aux crampes.Pour le scratch, serré en effet ! RDV pris en 2015 !
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