Qui a un petit bobo en ce moment ???

Je crois que je comprends ce que tu vis. Mais il faut écouter son corps, chose que je n'ai pas faite. et après qqs mois BOUM j'ai explosé mais méchant.

A part le vélo il faut peut-être prendre en compte tous les autres éléments: boulot, famille, social etc ...

Je te souhaite de trouver un équilibre de d'être à nouveau heureux sur ton vélo !

Ivan

100% ok avec les pistes de Charly et Skippy.

Je me permets d'insister, dans l'ordre, sur
- Le "hors vélo" : vie pro, vie perso. stabilité, soucis etc...
- Principe de progressivité des charges et des intensités : est que tu ne ferais pas de trop brusques augmentations de charges (à l'échelle d'une sortie ou au cumul d'1-2 semaines) ?
- Si tu roules le soir, c'est clair que ça peut poser problème. Pour ma part, c'est radical.

Je crois que je comprends ce que tu vis. Mais il faut écouter son corps, chose que je n'ai pas faite. et après qqs mois BOUM j'ai explosé mais méchant.

A part le vélo il faut peut-être prendre en compte tous les autres éléments: boulot, famille, social etc ...

Je te souhaite de trouver un équilibre de d'être à nouveau heureux sur ton vélo !

Ivan

Merci Ivan

C'est clair que mon environnement extérieur n'est pas des plus stables, surtout l'an passé, mais là, ça allait un peu mieux donc j'ai du mal à savoir si ces "décrochages" sont d'ordre psychologiques ou physiques, ou la combinaison des 2.
A mon avis, je dois faire un peu une croix sur toute forme d'entrainement rationalisé dans le sens programme etc... débranché le cardio et vraiment tout faire à l'envie et aux sensations, ça donne pas forcément un pic de forme, je sais, mais de toute façon, je ne sais pas dans un mois si ça ira ou non, à quoi bon planifier?

à cette période, tu as fait quoi comme entrainement? nb d'heures, charge... analyse car , visiblement tu n'avais alors pas de pb.

- Roules tu le soir? cela peux influer
- travail en décalé?
- vie de famille?
peut être veux tu trop en faire?

as tu penser à aller consulter?

En 2012, à ce moment là, je n'avais fait que du VTT l'été, des sorties de 2/3H tous les 2/3 jours, je ne forçais pas dans les bosses et je prenais tous mes chemins préférés pour le plaisir technique, pas de cardio, pas de programme et la forme était revenue vers septembre, en même temps, je dormais très bien ;)
Je roule en journée depuis que j'ai changé de métier (il y a 2 ans), j'ai plein de trous dans mon emploi du temps et je devrais justement marcher comme un avion avec tout ce temps disponible mais je suis obligé de me modérer à 7H de vélo en moyenne par semaine car je n'arrive déjà pas à supporter plus en entraînement.
Vie de famille, ça va, car je n'ai pas d'enfant et célibataire (même si la séparation avec ma copine l'an passé m'a coûté des forces)

Je ne veux plus trop en faire depuis mon gros épisode de surentraînement en 2009, je pense que dans ce puzzle, il y a eu aussi beaucoup de stress lié à mon changement d'orientation professionnelle via une reprise d'études, déménagement, problèmes "sentimentaux" mais je pensais tout ça un peu derrière cette année, apparemment il y a encore des traces.

L'an passé, à la même époque et devant les mêmes symptômes, j'étais allé voir un médecin du sport, on avait fait un bilan sanguin RAS (à part un mini-déficit en globule blanc) et la seule chose qu'il avait trouvé à me dire quand je lui expliquais que le moindre effort violent me vidait pour le reste de la sortie était que je vieillissais... (LOL, j'ai 30 ans) et que je devais me blinder en sucre avant mes sorties, autant dire qu'il ne me reverra pas

Je dois faire ma visite médicale pour licence sous peu, donc j'évoquerai cela avec le médecin, après il me renverra peut-être vers un psy ou autre. En tout cas, le sommeil et la récup est le point vraiment le préalable le plus important à toute performance sportive, sans ça, on peut faire pschiiit très très vite.

Merci pour vos réponses

Je n'ai pas l'expérience de ce que tu vis, ni de solutions toutes faites.
Simplement, avec ce que tu décris, ça donne l'impression d'un problème essentiellement mental. Te mets-tu une pression particulière dans ta pratique, qui te ferait ignorer les signaux du corps ? Même si tu n'as pas d'autre objectif que "d'être en forme", n'as-tu pas un peu trop le souci de la performance ?
J'ai aussi l'impression que ton problème de surentraînement t'a marqué psychologiquement : en clair, dès que tu programmes une montée en charge, un stress se mettrait en place, qui t'empêcherait d'être serein au moment d'absorber les heures sup'.

Tu as quand même eu pas mal de changement dans ta vie non ? Il ne faut pas fuir ou se cacher mais accepter la réalité et la vivre.

Tu devrais aller voir un bon généraliste. Celui qui te trouve vieux à 30 ans soit c'est un comique ou un charlot.
Tu es à mon avis en état de fatigue et de stress chronique. Sur le long terme même les plus costauds peuvent péter.

Le mentale et le corps sont indissociables. Les sportifs somatises beaucoup. Tu aurais vu mon cardio de juin/juillet/août c'était du grand n'importe quoi.

Va voir un psy. Le cartésien de base que je suis j'ai trouvé ces séances très utiles.

Ivan

Et surtout utilise déjà le sport comme "une détente, un loisir" sans autre objectif que de se vider la tête. C'est a dire, balade, plaisir ce qui t'a bien réussi par le passé, et surtout pas travail, durée volume charge de travail, progression ...

stam écrit:

Je n'ai pas l'expérience de ce que tu vis, ni de solutions toutes faites.
Simplement, avec ce que tu décris, ça donne l'impression d'un problème essentiellement mental. Te mets-tu une pression particulière dans ta pratique, qui te ferait ignorer les signaux du corps ? Même si tu n'as pas d'autre objectif que "d'être en forme", n'as-tu pas un peu trop le souci de la performance ?
J'ai aussi l'impression que ton problème de surentraînement t'a marqué psychologiquement : en clair, dès que tu programmes une montée en charge, un stress se mettrait en place, qui t'empêcherait d'être serein au moment d'absorber les heures sup'.

Certainement que j'ai le souci de la performance, à vrai dire, je prends vraiment plaisir sur le vélo quand je suis en forme, hors j'ai souvent l'impression d'être limité par rapport à ce que je suis capable de produire en pleine forme. Je ne sais pas pour vous mais en pleine forme par rapport à une forme normale, j'ai l'impression d'être 20/25% plus fort (et cela se retranscrit au chrono), si seulement, je n'étais que 10% en dessous le reste du temps, je serais comblé mais c'est pas vraiment le cas, d'où la recherche de performance.
Effectivement, le surentraînement a du créer une forme de stress et je dois attendre trop d'un plan d'entrainement, peut-être est-ce lié et je dois écouter les signaux, enlever le cardio et rouler à l'envie sans trop réfléchir. Le chemin d'une bonne forme passe peut-être par là.

Tu as quand même eu pas mal de changement dans ta vie non ? Il ne faut pas fuir ou se cacher mais accepter la réalité et la vivre.

Tu devrais aller voir un bon généraliste. Celui qui te trouve vieux à 30 ans soit c'est un comique ou un charlot.
Tu es à mon avis en état de fatigue et de stress chronique. Sur le long terme même les plus costauds peuvent péter.

Le mentale et le corps sont indissociables. Les sportifs somatises beaucoup. Tu aurais vu mon cardio de juin/juillet/août c'était du grand n'importe quoi.

Va voir un psy. Le cartésien de base que je suis j'ai trouvé ces séances très utiles.

Il y a un bon médecin du sport pas trop loin de chez moi, je vais aller lui exposer ces sensations et on verra bien ce qu'il en dit, je ne suis peut-être pas fait pour supporter le stress de compétitions et d'objectifs sportifs, surtout comme tu le dis, il y a plein de choses qui se sont rajoutées dans ma vie ces derniers temps qui mentalement m'ont assez marqué. Le fait de prendre le vélo comme un objectif supplémentaire est peut-être une erreur, le stress physique en addition au stress mental et au final burnout

Pour compléter sur la palette cardio, je disais il y a 2 semaines que j'avais pris mon max depuis 3/4 ans, je sortais juste de 3/4 jours à l'étranger après un super WE entre potes et j'étais encore porté mentalement par l'adrénaline du voyage, faut-il y voir un lien? Je pense que oui ;) bon après, le soufflet est vite retombé

Merci à tous de prendre le temps de me répondre, j'aime pas trop exposer ma vie mais bon quand il y en à marre, y'a malabar

Je suis desolé mais je suis heureux d'entendre ton témoignage! Je suis exactement dans le meme cas que toi... suite à une mononucléose/maladie de lyme j'avais tous les symptomes d'un sur entrainement ou fatigue extreme quoi... J'ai très mal et peu dormi pendant 1 mois puis sans sport pendant 3 4 mois plus rien... Je passe de 5.3w/kg à 6.3 en un hiver, j'etais halluciné et tout content... je continue mon hiver et pendant deux voir 3 semaines je fais un peu le con sur le sommeil je me couche tard et me leve tot etc... et bingo enorme coup de barre, je fais de l'hypotension quand je me leve etc... une méforme complete et une saison 2013 foirée! Si je dors pas pendant quelques nuits je ressens une fatigue très consequente et plus trop de sensations... Cette année j'ai decidé de faire attention à mon sommeil et la ca va mieux car je me fais une sieste en plus si la nuit est pas top...! Mais la ou je me retrouve c'est que quand on pense trop au sommeil et on est obsédé par ca comme je l'ai fait la semaine derniere parce que j'avais encore fait l'idiot durant 1 semaine , et bien j'en devenais obséder et j'etais stressé au moment du sommeil et donc mauvais sommeil... du coup j'ai decidé de me coucher très tot à heures fixes sans penser à avoir mes 9h et en devenir obsédé...

je rajouterais meme que mes problemes de sommeil et de baisse des performances surviennent dès que les courses reprennent ou se rapprochent.. on veut tellement se venger de cette méforme et de cet etat qu'on en stresse comme jamais... et le sommeil on le paye et etant plus fragile du fait de notre pathologie je pense qu'on est plus sensible au manque de sommeil... je sais pas c'est une hypothese mais je vais faire attention à me déstresser et ne plus y penser!

9h de sommeil, j'aimerais bien ;) mon bon ratio est 8h, en ce moment, je suis plutôt à 6H30 agitées. Je stresse pas trop à l'idée de dormir à vrai dire sauf la veille d'une course. Je mettrais plus ces soucis sur un tout, perso, pro, vélo qui me fait exploser dès lors qu'il y a un trop plein à supporter.

Le stress de dormir est une pathologie réelle aussi, pas facile de voir des paramètres qui nous échappent

pour encore rebondir sur le sommeil, je me lève tous les jours entre 4h45 et 5h20 et rentre le soir à 17h30 dodo vers 22h30.(je bosse à 1h35 de la maison).
je somnole dans le train, "off course", mais je peux vous dire que le vendredi après - midi les sensations sont bizarres sur le vélo tellement je suis HS .

=> sommeil, élément clé dans la recup

Sfay écrit:

Et surtout utilise déjà le sport comme "une détente, un loisir" sans autre objectif que de se vider la tête. C'est a dire, balade, plaisir ce qui t'a bien réussi par le passé, et surtout pas travail, durée volume charge de travail, progression ...

Il t'appartient maintenant de valider les différentes pistes en essayant d'être lucide et objectif avec ton expérience perso ou alors de solliciter un avis extérieur mais bienveillant.

De mon point de vue sinon, le conseil de Sfay me paraît quoiqu'il arrive des plus judicieux...

icare écrit:

Sfay écrit:

Et surtout utilise déjà le sport comme "une détente, un loisir" sans autre objectif que de se vider la tête. C'est a dire, balade, plaisir ce qui t'a bien réussi par le passé, et surtout pas travail, durée volume charge de travail, progression ...

Il t'appartient maintenant de valider les différentes pistes en essayant d'être lucide et objectif avec ton expérience perso ou alors de solliciter un avis extérieur mais bienveillant.

De mon point de vue sinon, le conseil de Sfay me paraît quoiqu'il arrive des plus judicieux...

Je prends, de toute façon, c'est ce qui m'a réussi par le passé, à la seule exception du programme Stephan qui avait bien fonctionné aussi

Par rapport à la discussion que je viens de lire mon problème est bien bénin ... courage Quickfluck

Je suis confronté depuis environ 2 semaines maintenant à une légère douleur au genou gauche, et je me dis que peut-être l’un de vous pourra m’aider.

Ma douleur se situe sur l’avant du genou gauche, coté intérieur. Je ne suis pas tombé sur ce genou, et je n’ai aucune douleur au genou droit. Elle dure depuis environ 2 semaines et stagne : ce n’est ni plus douloureux, ni moins douloureux depuis le début, sauf à froid après une sortie.

Je peux marcher sans douleur. Si j’appuie avec mes doigts pour chercher une zone sensible, je ne trouve rien, aucune douleur ou bien vraiment très faible. Si je plie totalement le genou, là au bout de quelques mouvements je sens cette douleur.

Sur le vélo, ça ne m’empêche pas de pédaler mais je sens bien que la douleur est présente. En général à chaud je n’ai pas trop de problème, mais par exemple hier après être une descente de 5min environ sans trop pédaler, à la reprise du pédalage la douleur était plus intense. Après quelques minutes de pédalage, à nouveau elle ne s’intensifie plus et tend même à diminuer (ou bien je m’y habitue … ?). Une fois descendu du vélo par contre, après 30 min environ donc à froid, la douleur est plus forte. Puis elle diminue pendant la nuit et stagne la journée du lendemain.

Jusque-là elle n’a rien d’insupportable mais comme ça dure je me dis qu’il y a quand même un truc qui cloche … Peut-être une erreur de position ? Mais pourquoi alors cette douleur sur un seul genou ? Je rajoute aussi que j'ai repris le VTT l'été dernier et le vélo de route depuis cet hiver. Je débute, donc il peut très bien s'agir d'une erreur grossière à la base. Cet été sur le VTT je n'avais pas de douleur, et en ce moment je ne roule que sur le route. En décembre/janvier quand je faisais des séances d'une heure sur HT pas de douleur non plus. La douleur est apparue depuis que je fais des sorties plus longues sur routes, à savoir 2 à 3h, pour un total de 6 à 9h/semaine en ce moment.

Si l’un de vous à une piste de par son expérience, je suis preneur.

Petite contribution perso au sujet , avec la "classique" clavicule sur une bête sortie de groupe en Espagne mercredi dernier.
Inattention à faible vitesse en ligne droite, les guidons qui s'accrochent, grand écart en se détachant et paf : épaule droite qui tape en premier, aucun doute dès les premières secondes, clavicule cassée.
A/R express aux urgences espagnoles (je vous passe les détails "policiers" et "ambulanciers", car j'ai eu la riche idée de me vautrer à deux pas d'une course cycliste... le temps de leur expliquer que je n'y participais pas... bref) : une heure plus tard radio et diagnostic plutôt rapides et clairs => fracture simple, non déplacée. Depuis je porte les traditionnels anneaux, pas de douleur particulière donc je dors bien (bon signe d'après les kinés de l'hôtel et quelques vétérans cyclistes), je peux aussi me servir du bras droit (sans forcer, évidemment).
Du coup pas de Corima évidemment, pour St-Tropez (12 avril) ça risque d'être juste... à voir comment tout ça se consolide, en attendant ce sera HT dès que ça tirera moins dans le genou droit (qui a légèrement tapé lui aussi). Je serai un peu plus frais en juillet

Dommage car j'étais un peu en avance par rapport à 2013... m'enfin.

PS : comme d'habitude le vélo n'a rien ou presque

Ben c'est la poisse ça... Ceci étant, pas de dommages "majeurs" et une indispos qui risque d’être "relativement limité... Ça devrait quand même le faire pour ce printemps....

Oui je ne devrais pas manquer les premiers véritables objectifs... et j'ai déjà une grosse base foncière, reste à faire un peu d'intensité sur HT en attendant.
C'est juste dommage d'aller jusqu'en Espagne pour se planter à la troisième sortie de la semaine (ni la plus difficile, ni la plus risquée loin de là !).

C'est souvent la ou on s'y attend le moins qu'il nous arrivent des pépins. Bon rétablissement Albator

Mer**, bon courage, ça va passer vite.

Salut Rodophe,

j'ai appris sur FB mais je te renvoie un bon paquet d'ondes positives

Ivan